Temps de lecture : 6 min / Mis à jour : 25 Nov 2024 / 1095 mots
Il paraît
qu’on peut vivre de la même manière sur cette Planète, mais sans argent
que l’argent est à la base un outil de facilitation des échanges de biens et de services
que la vraie valeur devrait être la confiance
que toutes les parties de moi ont envie de s’exprimer, et d’expérimenter leurs idées
que toutes les parties de moi ont été, sont et seront influencées plus ou moins, par les autres moi, mes proches, mes lointains
qu’il arrivera un moment où tous les êtres humains se comprendront et auront conscience qu’ils projettent à l’extérieur ce qui se passe à l’intérieur d’eux
que nous connaissons tous les êtres humains de la Terre avec une moyenne de 6 personnes intermédiaires -cf. Les six degrés de séparation–
qu’en terme d’apprentissage il est aussi important de -1- passer du temps seul -2- apprendre grâce à un (groupe de) mentor -3- partager son savoir à d’autres personnes
que le jeu est le meilleur outil trouvé par la nature pour apprendre à vivre
que l’école française fonctionne ainsi depuis 10 générations (cf. Libérez votre cerveau d’Idriss Aberkane)
qu’en 6 générations un fait rentre dans l’inconscient collectif
qu’il faut autant de temps pour se défaire d’une habitude que de temps qu’il en a fallu pour l’assimiler
que les miracles existent
que le stress n’est pas un état naturel de l’être humain
que toute ma vie n’est composée que d’instant présent, celui-ci, maintenant…
qu’en terme de perception, on vit la moitié de sa vie à l’âge de 16 ans
que le temps s’accélère… sauf quand on s’ennuie…
que de savoir rien faire, c’est tout un art
que je peux changer mon mode de fonctionnement
que la grâce vaut mieux que la pesanteur (cf. La pesanteur et la grâce de Simone Weil)
que naître na-tu-rel-le-ment, vivre dans un environnement non aseptisé, manger des aliments naturels favorisent un bon microbiote
que chaque être humain naturellement constitué a entre 1,5 et 2 kg de bactéries (& co) vivant en symbiose en lui, notamment dans son intestin, et que leur nombre est 10 fois + grand que celui de nos propres cellules
que notre microbiote influencerait nos émotions et donc notre état d’esprit
qu’il faut faire tremper les graines et céréales plusieurs heures, puis enlever l’eau avant de les manger car la nature est ainsi faite qu’elle les a doté d’une pellicule peu digérable afin de profiter de la digestion de l’être mangeur pour faciliter sa dispersion et sa germination
que certaines personnes peuvent vivre de lumière
que le jeûne est bon et naturel (cf. le doc d’Arte : Le jeûne, une nouvelle thérapie ?)
que l’on ne vit pas pour manger mais qu’on mange pour vivre
que Gandhi, Nelson Mandela, Thomas Sankara sont devenus intègres par choix
que le Soleil, la Terre, et tous les corps célestes pourraient être dotés de cognition et de système de reproduction échappant à notre entendement puisque nous ne sommes pas calés sur la même temporalité, sur la même échelle de temps
que le mot «temporalité» devient à la mode
que je pourrais écraser cette guêpe sur la fenêtre parce qu’elle pourrait me piquer, elle pourrait être dangereuse
qu’en dissipant ma peur primitive je peux voir cette guêpe comme un être vivant comme moi et simplement lui ouvrir calmement la fenêtre pour qu’elle retrouve le chemin de sa maison
qu’il ne faut pas forcer la nature à ressembler à nos idées
qu’il faut agrandir nos idées pour qu’elles ressemblent à la nature
qu’il ne faut pas forcer le cerveau à ressembler à notre école (cf. Libérez votre cerveau d’Idriss Aberkane)
qu’il faut forcer notre école à ressembler à notre cerveau (cf. Libérez votre cerveau d’Idriss Aberkane)
que je pourrais devenir un expert sur un domaine
que je pourrais expérimenter une multitude de domaines
que de fonctionner à plusieurs… ça s’apprend
que notre cerveau est «malléable», «plastique», tant que nous sommes en vie
que le polyamour est un néologisme pour désigner les personnes qui souhaitent ne pas partager leur vie sentimentale avec 1 seule personne
que chacun-e voit le monde selon sa réalité, et que la vérité est un miroir brisé
qu’en m’acceptant là, maintenant, sans jugement, avec ce qui semble être des défauts et des qualités, je pourrais éventuellement ouvrir mon cœur
qu’il est important d’enseigner avec honnêteté
que tout enseignement devrait être organique = reproductible + adaptable + personnalisable
que je devrais expérimenter avant d’exprimer
que quand je pense à toi, je pense à moi
que pris dans un cadre bienveillant, les psychédéliques peuvent être bienfaiteurs
qu’il y a un lien entre environnement malsain et addiction
que nous pouvons mutualiser nos outils, connaissances, biens, sans rien perdre
que pardonner est une grande qualité humaine
que la compassion et le bonheur s’apprennent et s’entretiennent tout comme la guitare et la musculation
qu’on est d’abord inconscient d’être incompétent, puis conscient d’être incompétent, puis conscient d’être compétent avant d’être inconscient d’être compétent
que toute chose nouvelle est d’abord vu comme ridicule, puis dangereuse avant d’être évidente
que chaque personne a accès à une vérité différente et tend à renforcer celle qui croit être la sienne, cela s’appelle le biais de confirmation
que ce qui rentre en conflit avec notre vérité engendre la dissonance cognitive
que + je sors de ma zone de confort, + j’élargis mon champ des possibles
que la tendresse, la douceur et l’altruisme se réapprennent
que Le Petit Prince et Tippi ont tout compris
que si on se laisse embarquer dans le tourbillon de la vie normale, le passé et le futur prennent le pas sur le présent
qu’en anglais present, veut dire cadeau
que de pratiquer 30min de méditation par jour pendant seulement 2 semaines engendre des bienfaits (cf. le film Vers un monde altruiste de Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade)
que la méditation veut dire se familiariser avec une nouvelle habitude (cf. Plaidoyer pour l’altruisme de Matthieu Ricard)
que même si toutes les émissions de CO2 étaient arrêtées maintenant en 2017 il faudrait 100 ans avant qu’il y est une diminution de sa concentration dans l’air (cf. Jean-Marc Jancovici)
que le CO2 est le gaz à effet de serre le moins nocif, les autres ayant un pouvoir de réchauffement global beaucoup plus important (cf. Jean-Marc Jancovici)
qu’après une catastrophe, l’entraide et l’altruisme sont les comportements qui s’expriment instinctivement, et que le doute et l’égoïsme ne reviennent que lorsque la situation se calme et que les individus ont le temps de réfléchir (cf. Pablo Servigne)
Il paraît que… c’est pas fini !